La Modernité française
Ces architectes allemands qui avaient dû, pour défendre leurs idées, quitter leur pays au milieu des années 1930, avaient entretenu, avant d'émigrer, des relations suivies avec leurs confrères français.
Ainsi, deux grandes personnalités de l'architecture allemande et française, Walter Gropius et Le Corbusier, avaient pu partager quelques points de vues et quelques moments de travail. Walter Gropius se souvient:
A la différence de Gropius, c'est une expérience personnelle et individuelle et non une expérience au sein d'un mouvement ou d'une Ecole qui caractérise la pratique de Le Corbusier.
La place qu'a tenue le Japon dans l'activité architecturale en France est à rechercher au travers de telles expériences individuelles. Le choix de deux personnalités offre celle, incontournable, de Le Corbusier pour ses engagements volontaires et radicaux, et celle peut-être moins excessive mais non moins remarquable de Robert Mallet-Stevens.
Les contacts respectifs que
Le Corbusier et Mallet-Stevens ont pu avoir avec le Japon au cours de leur
carrière sont certainement moins directs et moins nombreux que ceux
déjà évoqués de leurs confrères étrangers
(allemands, américains, anglais), mais ils sont néanmoins
existants et d'une valeur certaine.
Sans conteste, la France avait largement contribué au développement du japonisme en Occident (voir ouverture et chronologie); sans revenir sur toutes ces contributions on peut en relever certaines manifestations significatives.
Avec les fréquentes expositions universelles parisiennes, celles de 1867, 1878, 1889, 1900, comme moteur, le milieu japonisant français était des plus actifs; et des personnalités telles que Emile Guimet, Enrico Cernuschi ou Samuel Bing le représentaient sur un plan international.
Si Samuel Bing, à la fin du XIXème siècle, a "glissé" de l'art japonais à l'Art Nouveau, en transformant sa galerie d'art parisienne, c'était sans trouver un véritable écho auprès des architectes français. Comme le souligne Leonardo Benevolo, les architectes français se sont moins investis dans l'Art Nouveau que leurs confrères belges ou espagnols, pour mieux réinterpréter une ligne plus traditionnelle.
D'ailleurs, en 1925, l'Exposition
Internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, tenue
à Paris, rassemblait les pavillons de Le Corbusier (Pavillon de
l'Esprit Nouveau), de Robert Mallet-Stevens (Pavillon du Tourisme), et
du Japon (maison japonaise, voir illustration 21). (3)
Le Japon a eu une place assez particulière dans la carrière de Le Corbusier; et l'impact que ces relations ont pu avoir sur lui reste difficile à définir. C'est certainement Charlotte Perriand qui connaît bien Le Corbusier et le Japon qui est la mieux à même de le caractériser:
Avant ce voyage, qui concerne surtout la fin de sa carrière, Le Corbusier avait accueilli dans son atelier de la rue de Sèvres à Paris, plusieurs jeunes architectes japonais qui, eux, étaient pressés de le rencontrer. Ces rencontres ne sont pas restées sans échanges: on sait ce que le maître a su leur apporter, il reste à déceler ce que ses disciples ont pu lui faire percevoir.
Ainsi, après avoir
mis en évidence la façon dont Le Corbusier a peu à
peu approché le Japon, on pourra tenter de percevoir dans ses réalisations
des éléments déjà présents dans l'architecture
japonaise.
- Son Approche du Japon - Le Corbusier était prolixe. Pourtant, tout au long de ses nombreux écrits, il n'a réservé qu'une place infime, voire insignifiante au Japon. Et, lorsque ce dernier est évoqué, ce n'est pas sa mise en valeur qui est recherchée.
Par exemple, l'une de ces allusions se trouve dans L'Art décoratif aujourd'hui, et par un jeu de mots qui est teinté d'une connotation péjorative, elle peut traduire le sentiment de Le Corbusier face à ce qui provenait du Japon.
En 1931, c'est Junzo Sakakura qui devait succéder à K.Maekawa dans l'atelier de Le Corbusier. Son expérience parisienne fut plus longue. J.Sakakura a passé cinq années en France, de 1931 à 1936, concluant son expérience en construisant le Pavillon du Japon pour l'Exposition de Paris de 1937.
Enfin, c'est lui qui devait faire venir au Japon, au moment où la seconde guerre mondiale éclatait à Paris, Charlotte Perriand avec qui il avait travaillé et lié amitié. Charlotte Perriand se souvient:
J'ai découvert, grâce à Sakakura, qu'en dehors de notre mode de pensée cartésien, il en existait d'autres. Sakakura a toujours essayé de me faire comprendre son pays, ses anomalies, un mode de pensée plus intuitif."(7)
Ces rencontres, même si elles n'ont pas laissé une trace évidente à percevoir sur le travail personnel de Le Corbusier réalisé au cours de cette période, elles sont , en revanche, à l'origine de la commande du Musée des Arts occidentaux réalisé à Tokyo. Et, c'est à l'occasion de ce projet, que Le Corbusier a fait son seul et unique voyage au Japon, en 1955.
Le Corbusier a séjourné au Japon, du 31 octobre au 11 novembre 1955, pour réaliser les premières esquisses du projet qui lui était commandé.
A Kyoto, Le Corbusier a visité la Villa impériale de Katsura. Sa réserve face à cette villa, dont B.Taut et W.Gropius entre autres avaient tant loué la beauté, est surprenante.
le tatami=96*192!!!
la princesse est modeste."(10)
120 - Croquis de la Villa impériale de Katsura, Le Corbusier.
La princesse est modeste! mais ce que Le Corbusier a pris pour la chambre du prince, n'est certainement que sa garde-robe. La Villa, loin d'être une habitation modeste, est une vaste demeure, richement ornée, qui a peu à voir avec les habitations du communs.
121 - Villa impériale, (30)Chambre à coucher impériale, (33)Garde-robe.
122 - Une grosse pierre sert de Perron.
Le Corbusier avait aussi fait des croquis du Manji-tei, l'un des pavillons de repos dépendant du Shokin-tei (voir illustration 115). Il s'agit d'un abri couvert dans lequel sont placés des bancs. Ils étaient utilisés par les personnes invitées aux cérémonies de thé, qui attendaient là, qu'on les convie.
Manji-tei signifie Svastika, dont la disposition des quatre bancs rappelle la forme: une croix gammée à branches égales.
123 - Croquis du Manji-tei de Le Corbusier.
Dans la banlieue de Tokyo, Le Corbusier avait visité à Kamakura, le musée d'art moderne construit par son ancien élève J.Sakakura. Il note l'emploi de la pierre d'Oya, déjà utilisée par Wright pour l'Hôtel impérial (voir illustration 72) et pour la résidence Yamamura (voir illustration 74).
124 - "Tokio, pierre volcanique en abondance" de Le Corbusier.
A Tokyo, Le Corbusier avait pris quelques notes et fait les premières esquisses du projet du musée.
125 - "Musée National des Beaux Arts de l'Occident" de Le Corbusier
125b - "Musée National des Beaux Arts de l'Occident" de Le Corbusier.
Le gouvernement japonais avait commandé ce musée à Le Corbusier pour abriter l'importante collection de peintures et de sculptures, que M.Matsukata avait réunie au début du siècle en Europe, et notamment à Paris et à Londres, et que le gouvernement français avait accepté de restituer au Japon, après en avoir eu l'entière possession selon le traité de paix signé en 1951.
Ce musée répond parfaitement à l'idée de Le Corbusier du musée à croissance illimitée ( qui date de 1939), mais trouvant ses limites dès la première spirale.
126 - Musée à croissance illimitée, 1939.
Cette idée de croissance illimitée était formulée par une salle centrale sur deux niveaux, qui se développe sur elle-même en spirales au deuxième niveau. On entre dans cette salle au coeur de la construction posée sur pilotis, accédant à l'étage par une rampe et continuant la visite dans les galeries en spirales.
127 - Vide central du musée des Arts occidentaux.
Le Musée des Arts occidentaux a un plan parfaitement carré, formé par une trame de poteaux porteurs. Au rez de chaussée, on entre par la hall central éclairé zénithalement, duquel et par une rampe, on accède à l'étage. Autour du vide central, s'organise l'exposition, longeant les quatre façades du bâtiment.
128 - Plan du musée des Arts occidentaux.
Le Corbusier ne semble pas s'être entièrement impliqué dans ce projet, qui représente plus la mise en forme d'une idée ancienne, plutôt qu'une volonté de prendre en compte un site et un contexte spécifiques. D'ailleurs, la construction de ce musée n'a été l'occasion pour lui que d'un seul voyage d'à peine une dizaine de jours au Japon (alors qu'il a fait plus de vingt séjours en Inde, par exemple). Il en avait, en fait, confié l'exécution à MM.Maekawa et Sakakura.
C'est Kunio Maekawa qui a réalisé l'extension du musée en 1979, abandonnant complètement le principe de croissance illimité, pourtant théoriquement applicable ici.
129 - Musée des Arts occidentaux.
Pour conclure au sujet du séjour de Le Corbusier au Japon, Antonin Raymond note que:
Le Corbusier a réalisé
une construction à Tokyo. J'entends, il y a un musée dans
le parc d'Ueno, pour lequel Le Corbusier a fait quelques esquisses. Malheureusement,
je suis persuadé que son idée n'a pas entièrement
été menée à bien. Les choses sont confuses
- l'éclairage est pauvre et les détails sont de mauvaise
qualité. Entre autre, l'entrée est défigurée
par un énorme conduit de cheminée. Surtout, le musée
ne convient pas à la collection Matsukata qui est, en grande partie,
constituée de tableaux peints par des artistes français dans
des petits ateliers, il y a 70 ans; l'atmosphère froide et sévère
du Musée ne leur est pas favorable."(12)
Les très célèbres "cinq points de l'Architecture Moderne", énoncés par Le Corbusier sont dépendants (sauf la toiture-terrasse) de la structure de la construction. L'abandon des murs massifs porteurs, en laissant la place à une structure formée de poteaux et de poutres, permettait au plan et à la façade d'être libres, à la fenêtre d'être en longueur, et à la construction d'être sur pilotis.
Le Corbusier éprouvait ces techniques modernes et les matériaux nouveaux, il approuvait aussi les raccourcis oratoires.
Avec le béton armé on supprime entièrement les murs. On porte les planchers sur de minces poteaux disposés à de grandes distances les uns des autres. Pour fonder ces poteaux, on creuse un petit puits par poteau et l'on va chercher le bon sol. Puis on sort le poteau hors de terre. Et, à ce moment, on profite des circonstances. Je n'ai pas eu besoin d'enlever ce fatal noyau de terre au coeur de la maison. Mon sol est intact, il continue! Je vais faire une bonne spéculation: les poteaux de béton armé (ou de fer) ne coûtent presque rien. Je vais les élever à trois mètres au-dessus du sol intact et j'accrocherai mon plancher là-haut. J'ai ainsi disponible tout le sol sous la maison.
(...)"L'architecture (plus exactement, la maison), c'est des planchers éclairés." Quelle réponse totale ici!"(14)
Ces idées modernes réalisées grâce à l'utilisation de matériaux modernes, soit une structure en béton armé ou de métal, étaient déjà appliquées au Japon, où la structure porteuse en bois donne aux constructions ces mêmes caractéristiques architecturales.
Le Corbusier avait, d'autre part, développé, et notamment avec l'établissement du Modulor, les idées d'échelle et de coordination modulaire dans la construction. Il avait déduit ses dimensions en s'alignant sur les mesures de l'homme (voir Concepts de l'Architecture moderne vus à travers la tradition japonaise - Principes constructifs - Coordination modulaire).
Au Japon, comme il avait déjà été démontré par F.Ll.Wright ou R.Neutra, ce ne sont pas uniquement les éléments de l'architecture qui sont standardisés, mais avec eux, tous ceux de la vie à l'intérieur de la construction qu'elle conditionne.
Le Corbusier qualifiait lui-même ses idées de révolutionnaires, pourtant il savait aussi qu'elles pouvaient d'une certaine façon ne pas être innovatrices pour certaines traditions:
La place qu'a tenue le Japon
dans la carrière de Robert Mallet-Stevens est toujours restée
discrète, mais néanmoins sous-jacente. Elle se différencie
aussi, si l'on compare deux périodes de son activité: celle
avant la première guerre mondiale, et celle entre les deux guerres.
Cette distinction correspond aussi à celle entre ses écrits
et ses réalisations.
- Ses Ecrits - Il est un article de Robert Mallet-Stevens paru en 1911 dans La Revue (18) entièrement consacré à l'architecture japonaise (voir annexe 6).
En 1911, Mallet-Stevens qui n'avait que 25 ans, et qui débutait à peine sa carrière d'architecte, avait eu en sa possession suffisamment de documents sur l'architecture japonaise pour écrire un article relativement complet et surtout riche de références précises, et qu'il avait illustré de six dessins signés de sa main.
Cette date de publication est intéressante, car elle peut laisser supposer que cet article ait eu une grande importance pour Robert Mallet-Stevens lui même, mais aussi ait agi pour ses confrères, même déjà plus âgés, comme révélateur. Car, comme il le souligne lui même en introduction:
De la maison d'habitation, il retient autant son aspect extérieur qu'intérieur: construite en bois, sur pilotis, elle est couverte par une toiture imposante qui protège de la pluie ses façades largement ouvertes, et abrite la terrasse; à l'intérieur, c'est la sobriété qui est mise en évidence, le bois laissé apparent, l'absence de meubles, le tokonoma, et les larges baies par lesquelles le jardin est accessible.
De l'architecture religieuse, Robert Mallet-Stevens possède des références précises: "le Daïboutsou à Nara", "la pagode d'Horyouji près d'Osaka", "le temple Sanjousangendo à Kioto", "le temple de Nagasaki", "la pagode de Kamakoura", "et celles "d'Uono et de Nikko". Il fait la distinction entre les deux cultes pratiqués au Japon, bouddhiste et shinto, et décrit autant la pagode que le tori.
Enfin, en ce qui concerne l'architecture militaire, il retient le château de Nijo, qu'il cite en exemple de palais.
Toujours en 1911, dans un autre article, Robert Mallet-Stevens, donne comme exemple à sa démonstration de l'harmonie entre le noir et le blanc, celui d'un paysage bucolique japonais.
- Ses Réalisations - Selon Léon Moussinac:
Léon Moussinac insiste sur cette influence japonaise qu'il situe bien au début des années 1910, mais ne fait aucune référence à l'article écrit par Robert Mallet-Stevens.
Les thèmes abordés par Léon Moussinac, selon lesquels des analogies entre certains éléments de l'architecture de Mallet-Stevens et l'architecture japonaise peuvent être mises en évidences, sont essentiellement relatifs à l'organisation de l'espace et aux qualités de l'espace intérieur.
Ce "goût pour une organisation simple de l'espace" de Mallet-Stevens est guidé par sa volonté d'adapter la fonction aux besoins, de respecter la logique de l'utile et du commode.
(...) les maisons sont entourées de terrasses recouvertes de grands toits débordants, projetant de l'ombre ou préservant les passants de la pluie."(26)
130 - Hall du Pavillon du
Tourisme, à Paris, 1925.
131 - Château de Nijo,
à Kyoto.
Puis Léon Moussinac évoque ensuite les pièces vides de mobilier de Mallet-Stevens, sobrement décorées de ces carrelages contrastés de noir et de blanc, et de ces lanternes carrées.
Dans ces maisons tout est
propre, blanc d'aspect carré, simple comme lignes et dans les moindres
détails on trouve un souci de décoration."(28)
132 - Luminaire de Mallet-Stevens.
Tous ces éléments
mis en évidence dans l'architecture de Mallet-Stevens, trouvent
effectivement un rapprochement avec les descriptions de l'architecture
japonaise qu'il avait lui même faites. Mais, il est vrai aussi, qu'à
cette époque de l'entre-deux guerres où l'on trouve les réalisations
les plus caractéristiques de sa carrière, il a fait peu d'allusions
à l'architecture japonaise.
notes:
(1)GROPIUS, Walter, Apollon dans la démocratie, la nouvelle architecture et le Bauhaus, La connaissance S.A., Bruxelles, 1969, p.154.
(2)BENEVOLO, Leonardo, Histoire de l'architecture moderne, T.2, Dunod, Paris, 1979, p.183.
(3)d'après Yvonne Brunhammer, Samuel Bing aurait aussi participé à cette exposition de 1925, en présentant le Pavillon de l'Art Nouveau.
"Le Pavillon de l'Art Nouveau monté par le célèbre marchand d'art japonais Samuel Bing ouvre la porte à une formule d'ateliers et d'édition qu'il avait emprunté à l'Amérique"
BRUNHAMMER, Yvonne, 1925, Presses de la Connaissance, Paris, 1976, p.11.
Pourtant il semblerait que Samuel Bing soit décédé en 1905.
(4)PERRIAND, Charlotte, in Architecture Intérieure CREE, n°226.
(5)Le CORBUSIER, L'Art décoratif aujourd'hui, Vincent, Fréal et Cie, Paris, p.28.
(6)Musée de Tokyo 1957, in T.A., n°373, septembre 1987, p.63.
(7)PERRIAND, Charlotte, op.cit..
(8)Musée de Tokyo 1957, op.cit., p.64.
(9)DOHI, Yoshio, Bruno Taut, sein Weg zur Katsura Villa, in B.Taut 1880-1938, Akademie der Kunst, p.125.
(10)Le Corbusier carnet 3 - 1954 1957, Herscher, Dessain et Tolra, légende du croquis 341.
(11)Musée de Tokyo 1957, op.cit., p.62.
(12)RAYMOND, Antonin, An Autobiography, Tuttle, Rutland & Tokyo, 1973, p.247 et p.249.
(13)L'Architecture d'Aujourd'hui, n°158, p.56.
(14)Le CORBUSIER, Précisions sur un état présent de l'architecture et de l'urbanisme, Vincent, Fréal et Cie, p.41.
(15)Le CORBUSIER, La Charte d'Athènes, Seuil, Paris, 1971, p.99.
(16)Le CORBUSIER, Vers une architecture, Vincent, Fréal et Cie, Paris, p.53.
(17)Le CORBUSIER, op.cit. note(14), p.97.
(18)MALLET-STEVENS, Robert, L'architecture au Japon, in La Revue, vol.LXXXX, 15 mai 1911, pp.522-530.
(19)MALLET-STEVENS, Robert, op.cit., p.522.
(20)MALLET-STEVENS, Robert, Le noir et le blanc, in Tekhné, n°34, 16 novembre 1911, cité par DESHOULIERES, D., JEANNEAU, H., Robert Mallet-Stevens, architecte, ed. des Archives d'Architecture moderne, Bruxelles, 1980.
(21)MOUSSINAC, Léon, MALLET-STEVENS, Les éditions G.Crès &Cie, Collection les artistes nouveaux, Paris, 1931, pp.7-8.
(22)MOUSSINAC, Léon, op.cit., p.14.
(23)MALLET-STEVENS, Robert, cité par DESHOULIERES, D., JEANNEAU, H., Mallet-Stevens, une traversée de l'architecure, in A.M.C., n°41, 1976, p.5.
(24)MALLET-STEVENS, Robert, op.cit. note(18), p.524.
(25)MALLET-STEVENS, Robert, in Le Bulletin de la vie artistique, n°23, 1er décembre 1924, pp.532-534.
(26)MALLET-STEVENS, Robert, op.cit. note(18), p.529 et p.523.
(27)MALLET-STEVENS, Robert, op.cit. note(18), p.530
(28)MALLET-STEVENS, Robert,
op.cit. note(18), p.529..